Dans ce webinaire, Pierre-Luc Besançon revient dans un premier temps sur la définition d’un placement mobilier, à savoir des revenus mobiliers qui proviennent de valeurs mobilières. “ Ces revenus peuvent provenir d’actions, c’est-à-dire de parts de capital de sociétés qui sont cotées en Bourse, que ce soit sur les marchés que vous connaissez comme le CAC ou les seconds marchés. Ils peuvent aussi provenir de parts de SARL bien évidemment, des parts de sociétés à responsabilité limitée, ou encore d’obligations. ”
Les obligations sont des titres correspondant à un prêt d’argent. On parle d’obligations d’Etat ou d’obligations privées, c’est-à-dire de bons de capitalisation…
Année après année, un type de placement s’impose comme celui que les Français préfèrent : les contrats d’assurance-vie.
“ Pour rappel, indique M. Besançon, les contrats d’assurance-vie ont connu, au même titre que la planète toute entière, une année 2020 chahutée. Mais ils restent malgré cela un placement qui recueille aujourd’hui un peu plus de 1800 milliards d’euros d’épargne des Français. Un tel montant donne une idée de l’appétence et de l’affection que peut représenter ce placement pour l’ensemble des contribuables privés français. ”