Foire Aux Questions

Le dispositif Pinel s’adresse à tous les contribuables français souhaitant investir dans des logements neufs ou réhabilités en totalité. Cela comprend les particuliers, les SCI ou les achats en indivision, se projetant à plus de 6 ans afin de bénéficier des meilleurs avantages fiscaux. Aussi, il est indispensable que la réduction Pinel soit inférieure ou égale au montant de l’impôt sur le revenu.

Calculer le loyer pour un investissement Pinel se fait en 3 phases. La première consiste à calculer la surface utile du logement. Ensuite, vous devez calculer le coefficient multiplicateur grâce à la formule suivante : 0.7+19/surface utile. Enfin, vous devez calculer le loyer maximum par rapport à la zone dans laquelle se trouve votre logement (A, A bis, B1). 

Par exemple, un logement de 45m2 de surface utile se trouvant en zone B1 dispose d’un plafond de loyer de ¹⁰. Le calcul qu’il convient d’appliquer est donc de :

45x(0.7+19/45)x10.44 = 527.22

Après avoir calculé votre bilan foncier, téléchargez l’imprimé 2042 et reportez le montant obtenu dans la rubrique « revenus fonciers nets ». Il peut s’agir d’un bénéfice ou d’un déficit foncier (uniquement au régime réel, car au micro seul un bénéfice est possible après abattement forfaitaire). Si vous optez pour un régime réel, il vous faudra remplir le Cerfa 2044 au préalable. À défaut, le régime micro foncier s’applique. La première année, vous devrez aussi remplir le formulaire 2044 EB qui vous engage auprès de l’administration pour une durée minimale de 6 ans ou 9 ans. Enfin, afin de profiter des avantages fiscaux de la Loi Pinel, il vous faudra remplir les pages 5 et 6 de la 2042 RICI.

Il existe plusieurs conditions pour mettre son logement en location et bénéficier de la loi Pinel. Il faut d’abord établir un loyer ne dépassant pas le plafond fixé de la zone géographique. Le logement doit être obligatoirement loué nu et à titre de résidence principale. Le propriétaire s’engage à le louer pour un minimum de 6 ans et au plus tard un an après l’achèvement des travaux ou de l’achat. Enfin, il ne doit pas laisser le logement vacant plus de 12 mois consécutifs.

Pour trouver une location Pinel, vous pouvez choisir entre deux options. La première est de faire la recherche par vos propres moyens. Si cela peut paraître avantageux au premier abord, cela se révèle vite contraignant. Il faut s’assurer que le bien rentre bien dans la catégorie et réfléchir au montage du financement. 

C’est pourquoi il est souvent conseillé de faire appel à un courtier en défiscalisation. Non seulement il aura accès à un parc immobilier pour faciliter votre recherche. Mais en plus, il pourra vous accompagner dans vos démarches pour bâtir un plan de financement sur-mesure optimisé. 

Le sigle LMNP signifie Location Meublée Non Professionnelle. Il s’agit d’un statut permettant à un particulier de louer un bien meublé. Pour qu’il entre dans cette catégorie, le bien doit obligatoirement posséder une literie, une table et une chaise, des luminaires ainsi qu’un réfrigérateur et des plaques de cuisson. Le revenu locatif ne doit pas non plus excéder 23 000 euros annuels et 50% des revenus globaux.  

C’est par un calcul relatif à l’amortissement des biens mobiliers et immobiliers que le contribuable bénéficie de la défiscalisation. Il ne s’agit pas d’une réduction d’impôts, mais d’une récupération de la TVA à hauteur de 20% (seulement en résidence services) et d’une exonération d’impôts totale, tant sur les loyers perçus (attention : si l’opération est très rentable entre le loyer et le crédit, on peut quand même générer un bénéfice imposable…Ce n’est pas dans 100% des cas que l’on est exonéré d’impôt sur les revenus LMNP) que sur la plus-value réalisée après - ans de détention.

Parce qu’il s’agit d’une société civile, il est en théorie impossible d’intégrer une LMNP à une SCI à cause de sa nature commerciale. 

La LMNP comprend une partie amortissable. Elle correspond à la perte de la valeur du bien selon une période donnée. Le propriétaire a la possibilité de déduire cette perte de ses recettes. Parmi les items que vous pouvez amortir dans le cadre de votre investissement LMNP on retrouve les travaux effectués dans le bien ainsi que le mobilier acheté pour meubler votre logement. En fonction du type de dépense, la période d’amortissement diffère. Cela peut être de 6 ans pour la literie, 10 ans pour une table ou un canapé et 15 ans pour les travaux de plancher. 

Si les dépenses générales associées à l’ameublement peuvent être amorties, les dépenses liées aux travaux de la location LMNP peuvent aussi l’être. Il s’agit d’une disposition spécifique permettant de décomposer le bien sur plusieurs années en fonction du poste de dépenses (gros œuvre, terrain, aménagement, etc.). L’amortissement peut ainsi être déduit sans que la valeur du bien à la vente n’en soit pénalisée.

Si la LMNP est intéressante, elle est sujette à un plafond de 23 000 euros par an et ne pas dépasser le montant de vos revenus globaux. Au-delà, vous êtes considéré comme LMP. Il convient alors de vous acquitter des cotisations sociales à hauteur de 35% à 40% des bénéfices.

La loi Malraux permet aux propriétaires de biens anciens d’effectuer des travaux de rénovation en déduisant les coûts de la réhabilitation. Ce dispositif a été mis en place pour encourager les particuliers à entretenir des logements à caractère historique, rattachés à des zones précises. La rénovation est plafonnée à 400 000 euros tous les 4 ans. En fonction du Site dans lequel se situe l’immeuble, la réduction varie entre 30% et 22%. Les travaux sont supervisés par des architectes des bâtiments de France. 

La SCPI qui se porte acquéreuse d’un bien régie par la Loi Malraux s’engage à mettre le bien en location. Ainsi, le détenteur de parts de cette SCPI se voit verser des revenus locatifs relatifs à son nombre de parts dans la SCPI. En plus de cela, il bénéficie des réductions fiscales prévues par la Loi Malraux, calculée toujours en fonction de son nombre de parts.

La location d’un bien en loi Malraux ne peut s’effectuer avec un membre de son foyer fiscal. Cela comprend autant les descendants que les ascendants. Et cela, même si le bien est détenu dans le cadre d’une SCI.

Si la loi Pinel s’attache à un bien neuf tandis que la loi Malraux est relative à l’achat d’un bien ancien, le loyer diffère puisqu’il est plafonné sur un Pinel tandis qu’il est indéterminé sur un Malraux. La différence entre un investissement Pinel et Malraux dépend surtout de la durée de l’engagement. Sur un bien régi par la Loi Malraux, l’avantage fiscal est condensé en moins de 4 ans et sur une enveloppe maximale de 400 000 euros. D’un autre côté, un bien régi par la loi Pinel dispose d’une réduction fiscale réduite et étendue sur 6 ans minimum. La réduction fiscale est d’ailleurs de 21% maximum sur un Pinel tandis qu’elle est de 22% minimum sur un Malraux. La cible des deux investissements est donc très différente. 

La Loi Malraux s’adresse à tous les contribuables français souhaitant investir dans la rénovation d’immeubles à caractère esthétique ou historique. De par l’avantage fiscal et l’enveloppe attribuée, cet investissement s’adresse majoritairement aux particuliers ayant une importante fiscalité et étant capable d’utiliser les 400 000 euros prévus par la loi sur une durée de 1 à 4 ans (à noter : report possible sur les impôts des 3 années suivantes si la réduction excède l'impôt dû)

La loi Cosse est un dispositif d’investissement locatif qui permet de bénéficier d’une déduction fiscale. Pour en profiter, vous devez signer une convention avec l'ANAH (l'Agence Nationale de l'Habitat), au moins pour 6 ans sans travaux ou pour 9 ans si l’on vous a attribué des aides aux travaux. Le logement doit répondre à différentes caractéristiques :

• il doit être loué non meublé,

• il doit correspondre à la résidence principale du ou des locataires,

• il doit respecter des conditions de performance énergétique,

• le loyer ne doit pas dépasser certains plafonds,

• le logement peut être récent ou ancien et nécessiter ou non des travaux,

• le bien ne peut pas être loué à un membre de la famille,

• le locataire doit respecter le plafond de ressources fixé avec l’Anah.

L’article 23 de la loi de finances en 2020 prolonge le dispositif fiscal de la loi Cosse jusqu’au 31 décembre 2022. Son objectif est de lutter contre la crise du logement en remettant sur le marché des logements privés vacants. Le propriétaire peut ainsi bénéficier d’un abattement sur les loyers pouvant atteindre 85 %.

En contrepartie de cet avantage fiscal, les propriétaires doivent : 

• louer non meublé,

• observer un plafond de loyer et de ressources pour les locataires,

• respecter une performance énergétique (applicable depuis novembre 2020).

Pour bénéficier de la loi Cosse, vous ne devez pas dépasser les plafonds de ressources fixés par l’État. Ces derniers varient en fonction du type de convention signé avec l’Agence Nationale de l’Habitat (ANAH) :

• une convention à loyer « intermédiaire »,

• une convention à loyer « social »,

• une convention à loyer « très social ». 

La localisation géographique (Zone A bis, Zone A, Zone B1, Zone B2, Zone C) du bien et la composition du foyer fiscal du locataire sont également prises en compte.

Voici un tableau récapitulatif des loyers applicables à la loi Cosse. Les limites de loyers sont exprimées en prix du loyer hors charges par m2.

La création d’une SCPI (Société Civile de Placement Immobilier) est ouverte à tous. Toutefois, plusieurs critères sont à respecter pour la créer :

• avoir au moins deux personnes,

• disposer d’un capital social minimum de 760 000 €,

• obtenir un agrément de l'Autorité des marchés financiers (AMF), 

• justifier d'une garantie bancaire approuvée par l'Autorité des marchés financiers. La SCPI doit obligatoirement être gérée par une société de gestion.

L’achat des SCPI (Sociétés Civiles de Placement Immobilier) à crédit est tout à fait possible. Il s’effectue comme lorsque vous réalisez un investissement immobilier locatif classique. Vous pouvez les acheter auprès d’une banque ou en passant par un courtier en crédit immobilier. Par ailleurs, il existe deux méthodes de financement : le crédit amortissable et le crédit in fine.

Si vous souhaitez investir dans un nouveau projet ou si vous avez besoin d’argent rapidement, il est possible de sortir d’une SCPI (Société Civile de Placement Immobilier) en revendant vos parts. Toutefois, pour que votre investissement soit rentable, il est fortement conseillé d’attendre au moins 8 ans avant de céder vos parts. Attention, le processus de revente d'actions de SCPI est différent selon que la SCPI soit à capital fixe ou à capital variable :

• pour des SCPI à capital variable : vous devez envoyer un ordre de retrait par courrier recommandé avec accusé de réception à la société de gestion,

• dans le cas d'une SCPI à capital fixe : la vente de parts se fait principalement sur le marché secondaire par l’intermédiaire de la société de gestion. Le prix de vente des parts résulte de la confrontation entre l’offre et la demande.

Les Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI) entrent dans la catégorie des revenus et font l'objet d'une déclaration spécifique. Vous devez donc déclarer vos revenus SCPI en utilisant les formulaires dédiés au régime fiscal : 2042 (micro foncier), 2044 (régime réel), 2047 (SCPI avec des revenus issus de l’étranger). 

Généralement, les sociétés gérant les SCPI fournissent un imprimé fiscal unique (IFU) ou formulaire 2561 qui récapitule les informations nécessaires à la déclaration. Il vous suffit ensuite de recopier les chiffres communiqués dans les cases correspondantes.

Oui, il est possible de vendre votre part en nue-propriété avec l’autorisation de l’usufruitier. Par conséquent, le nouvel acquéreur devient à son tour nu-propriétaire. 

En tant que nu-propriétaire, vous conservez les droits sur le bien immobilier : vous pouvez donc le céder ou l’hypothéquer. Si par exemple, vous souhaitez réaliser un crédit immobilier, vous pouvez donner en garantie à la banque l’hypothèque de votre bien immobilier en nue-propriété. En cas de défaut de paiement, la banque pourra saisir uniquement la nue-propriété et les locataires ne pourront pas être expulsés.

Oui, vous pouvez effectuer un don en nue-propriété. Ce type de donation consiste à céder votre bien immobilier à la personne de votre choix tout en conservant son usage jusqu’à votre décès. Cette action permet de transmettre votre patrimoine de votre vivant, sans pour autant vous démunir.

Le principal intérêt d’acheter en nue-propriété est d’acquérir un bien immobilier à un prix inférieur à sa valeur sur le marché. En effet, étant donné que vous ne pouvez pas l’utiliser et percevoir des loyers sur une durée déterminée, la décote sur le prix du bien peut aller de 30 % à 50 %. Les autres avantages sont :

• les travaux d’entretien du bien sont à la charge de l’usufruitier, ils concernent les parties privatives et communes. Vous prenez en charge uniquement les grosses réparations,

• vous êtes exonéré de la taxe foncière,

• vous bénéficiez de droits de succession réduits, car ils sont calculés selon la valeur du bien en nue-propriété,

• la valeur du bien en nue-propriété n’est pas prise en compte dans votre patrimoine immobilier pour l’impôt sur la fortune immobilière (IFI).

Il existe deux types de protection : les monuments classés et les monuments inscrits. Un monument classé présente un intérêt public majeur de conservation, d’un point de vue historique, artistique, scientifique, légendaire ou pittoresque. Il est classé au niveau national. Un monument inscrit est un site qui présente les mêmes intérêts mais dont l’inscription se fait à un niveau régional. Vous pouvez investir dans un monument classé ou inscrit grâce à la loi Denormandie.

Pour bien investir en immobilier avec la loi Denormandie et bénéficier d’une réduction d’impôt, vous devez tenir compte de plusieurs critères :

• louer votre bien le plus longtemps possible,

• acquérir un bien dont le coût ne doit pas dépasser 300 000 euros,

• acheter un bien dont le m² de surface habitable ne doit pas dépasser 5 500 euros.

Vous pouvez tout à fait bénéficier de la loi Denormandie via une SCI. En effet, pour pouvoir investir via ce dispositif, vous devez être un contribuable domicilié en France. Ainsi, il est possible de réaliser un investissement en loi Denormandie en étant une Société Civile Immobilière (SCI).

Vous pouvez tout à fait créer une Société Civile de Placement Immobilier (SCPI) en loi Denormandie. Cela correspond aux SCPI fiscales et vous permet de conjuguer placement immobilier et réduction d’impôt. 

En 2022, le nombre de villes éligibles à la loi Denormandie est de 245. Il correspond aux villes qui font partie du plan « Action Coeur de Ville » et de l’ « Opération de Revitalisation de leur Territoire » (ORT).

Le dispositif Denormandie s’applique dans le centre-ville de Pau. En effet, la loi Denormandie vise à redynamiser le centre-ville des villes de taille moyenne. Un programme national nommé « Action cœur de ville » a ainsi été lancé en 2018 afin de réhabiliter, entre autres, les quartiers du centre-ville de Pau.

Le déficit foncier est un dispositif de défiscalisation immobilière. Si vous réalisez un investissement dans l’immobilier locatif, vous pouvez diminuer le montant de votre impôt. Pour cela, vous devez déduire les différentes charges liées au bien que vous louez. 

Pour déclarer un déficit foncier, vous devez remplir le formulaire n°2044 et le joindre à votre déclaration de revenus globale qui correspond au formulaire n°2042. 

L’année 2018 a été une année particulière, dite « année blanche », en matière de fiscalité. En effet, avec l’entrée en vigueur du prélèvement à la source au 1^er janvier 2019, cette année blanche a été mise en place afin d’éviter aux Français une double imposition en matière de revenus réguliers ou de revenus fonciers. Elle a engendré la création du CIMR (Crédit d’Impôt Modernisation du Recouvrement). Ainsi, selon votre situation fiscale, votre impôt de 2018 a pu être totalement ou partiellement annulé, ou dû en totalité.

Lorsque vous louez un logement non meublé, il est possible que le montant de vos charges soit plus élevé que le montant des loyers imposables. Ce déficit peut donc être imputable sur vos autres revenus. Tous les ans, vous pouvez déduire jusqu’à 10 700 euros de déficit foncier sur vos revenus; parfois même jusqu’à 15 300 euros pour certains cas spécifiques.

Pour calculer votre déficit foncier, il est important de savoir qu’en tant que propriétaires-bailleurs, vous pouvez déduire jusqu’à 10 700 euros de déficit foncier par an. Dans certaines situations particulières, ce montant peut aller jusqu’à 15 300 euros par année. 

Vous devez aussi savoir que l’excédent de déficit foncier peut être déduit et reporté :

• pendant 6 années s’il excède votre revenu global,

• pendant 10 ans de vos revenus fonciers uniquement.

Par ailleurs, vous pouvez déduire de nombreuses charges de vos revenus fonciers, à l’image :

• des frais de gestion,

• des charges locatives,

• des intérêts et des frais d’emprunt,

• des primes d’assurance,

• etc.

La loi Pinel, ou dispositif Pinel, permet de réduire vos impôts sur le revenu jusqu’à 21 % en investissant dans l’immobilier locatif. Pour en profiter, vous devez investir dans un logement neuf ou en VEFA (Vente en l’état futur d’achèvement) et respecter plusieurs autres conditions : 

• de performance énergétique,

• de localisation,

• de montant des loyers,

• de revenus des locataires, etc.

La réduction d'impôt est imputable sur l'impôt de l'année de la date d'achèvement du bien immobilier, quel que soit le mois de livraison, puis chaque année jusqu’à la fin de l’engagement de location.

Exemple : J’ai investi dans un logement en état futur d’achèvement en 2020 qui m’a été livré en novembre 2021. Je déclare mon investissement Pinel en 2022.

Selon le type d’acquisition, la loi Pinel définit des délais maximums d’achèvement.

La loi Malraux est un dispositif de défiscalisation immobilière dans l’ancien. Elle date de 1962 et a été revue en 2009. L’objectif principal de cette loi est d’encourager la restauration et la préservation de biens anciens à caractère historique. Les acheteurs bénéficient d’une réduction d’impôt équivalente aux dépenses qu’ils ont faites lors de la rénovation du bien. Cette réduction fiscale est de l’ordre de 30 %. Les travaux ne doivent pas dépasser le montant de 400 000 euros sur 4 ans.

Si vous vous demandez où investir en 2024, sachez qu’il existe de nombreux placements avantageux. Parmi eux, vous trouverez par exemple : les marchés financiers, l’investissement immobilier locatif, l’assurance-vie, l’épargne retraite et la finance à impact. Pour optimiser votre épargne et vos placements, rencontrez l’un de nos conseillers en gestion de patrimoine. En fonction de votre situation patrimoniale, immobilière et fiscale, il saura vous recommander les meilleures solutions financières.

La loi Monuments Historiques est un dispositif de défiscalisation immobilière qui a pour but de favoriser la restauration de biens classés Monuments Historiques ou inscrits à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques (ISMH). Créée en 1913, cette loi permet aux propriétaires de biens d’exception de réaliser des travaux, en accord avec l’Architecte des Bâtiments de France (ABF), en contrepartie d’une réduction d’impôt. Il est ainsi possible de déduire 100 % du montant des travaux sur vos revenus.

Pour bénéficier des avantages de la loi Monuments Historiques, vous devez respecter certaines conditions. Le bien acheté doit :

• être classé aux Monuments Historiques,

• faire partie du Patrimoine National,

• être inscrit à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques (ISMH),

• posséder le label délivré par la Fondation du patrimoine.

De plus, les travaux de restauration que vous allez entreprendre doivent répondre à des critères spécifiques, c’est-à-dire : 

• respecter les recommandations de l’Architecte des Bâtiments de France (ABF), 

• être réalisés à l’initiative du ou des propriétaires regroupés en Association Syndicale Libre,

• obtenir une autorisation spéciale de travaux ou d’une déclaration d’utilité publique.

Les avantages fiscaux de la loi Monuments Historiques s’appliquent sur les travaux de rénovation et d’entretien du bien qui donnent droit à une déduction d’impôt. Vous pouvez également bénéficier d’une exonération sur les frais de succession ou d’une déduction du déficit foncier sur le revenu global.

La déclaration d’un bien acheté avec le dispositif Monuments Historiques se fait via le formulaire Cerfa n°2044 spéciale, en remplissant les lignes 420 à 470. Si vous avez besoin d’une aide à la déclaration de vos revenus fonciers, n’hésitez pas à contacter l’un de nos conseillers en gestion de patrimoine Quintésens.

Pour déclarer un investissement Monuments Historiques, vous devez lors de la déclaration de vos revenus fonciers, remplir le formulaire Cerfa n°2044 spéciale. Sachez que le formulaire dispose, pages 4 et 5, d’une colonne à remplir par type d’immeuble. Vous devrez ensuite renseigner les lignes 420 à 470.

Le déficit foncier est un dispositif de défiscalisation immobilière. Il vous permet de réduire vos impôts fonciers en déduisant les charges (frais d’entretien, travaux, intérêts de votre prêt immobilier, primes d’assurance, etc.) liées à la location de votre bien immobilier.

Les six étapes à respecter pour réussir un investissement immobilier sont les suivantes : 

• Définir l’objectif : création d’un revenu complémentaire ou constitution d’un patrimoine,

• Établir un budget : pour déterminer l’effort d’épargne à consentir sur la durée de remboursement du crédit,

• Étudier les possibilités de réduction d’impôt : grâce à des dispositifs de défiscalisation tels que les dispositifs Pinel, Denormandie, Malraux, LMP/LMNP, etc.,

• Rechercher un bien combinant une bonne rentabilité et un bon emplacement : afin de le rendre attractif aux futurs locataires,

• Rechercher un financement : le plus souvent un prêt bancaire, dont les taux d’intérêt et la durée de remboursement varient en fonction de plusieurs paramètres.

Il est également possible de vous rapprocher d’un conseiller en gestion de patrimoine qui saura vous aider à faire le bon investissement en fonction de votre projet.

Toute personne domiciliée en France et soumise à l’impôt peut actionner des leviers de défiscalisation. Par exemple, un contribuable peut défiscaliser à hauteur de 66 % un don fait à une association d’intérêt général.

Contrairement aux idées reçues, la défiscalisation n’est pas réservée aux ménages les plus aisés. Cela dit, elle devient vraiment intéressante pour les foyers fiscaux qui paient plus de 2 500 € d’impôt sur le revenu par an.

Avec des taux d’inflation assez importants, près de 5 % sur l’année 2023 en France, près de 3 % en zone euro, il n'est pas toujours évident de savoir où placer son argent. Ainsi, avant de vous lancer, il est indispensable de bien définir vos objectifs et de vous poser les bonnes questions. Quel montant souhaitez-vous investir ? Souhaitez-vous des placements à risques ou sans risques ?  Avez-vous besoin d’une épargne accessible ? Avez-vous des projets d’investissement locatifs ? Souhaitez-vous des placements à court terme ou à long terme ? 

Une fois que vous avez déterminé votre profil épargnant, voici les principaux placements que vous pouvez effectuer :

• les placements sans risques : les livrets d’épargne réglementée (Livret A, LDDS, LEP) bénéficient de la garantie de l’État,

• les fonds en euros des assurances-vie,

• les supports en euros des contrats d’assurance-vie, qui proposent une garantie sur le capital et un taux de rémunération généralement plus élevé que les livrets bancaires. Le souscripteur est ainsi sûr de récupérer sa mise.

Pour bien préparer votre retraite et vivre plus sereinement, il est conseillé d'anticiper vos placements financiers afin de combler la baisse de vos revenus. Pour cela, il existe plusieurs solutions intéressantes où vous pouvez placer votre argent : 

• l’achat de SCPI,

• l’investissement immobilier,

• le Plan d’Epargne en Action (PEA),

• le Plan d’Epargne Retraite (PER),

• l’assurance-vie en fonds euros.

Chacun de ces placements retraite n’a pas la même performance et les risques ne sont pas les mêmes. Faites vous accompagner par un conseiller en gestion de patrimoine pour choisir le meilleur placement retraite en fonction de votre profil et de vos besoins. 

Si vous disposez d’une somme d’argent provenant d'une prime, de la vente d’un bien immobilier ou d’un héritage, vous pouvez opter pour un placement à court terme, sur deux ou trois ans. On parle alors d’épargne de précaution, qui permet de financer un projet ou de faire face à une dépense imprévue. Ainsi, l’objectif d’un placement à court terme est qu’il doit être disponible à tout moment et sans risque pour réaliser un retrait quand vous le souhaitez. 

Pour cela, les livrets d’épargne réglementés comme le Livret A ou le Livret de Développement Durable et Solidaire (LDDS), et les livrets non réglementés ou Comptes sur livret (CSL) sont très intéressants pour un placement à court terme avec des risques minimes. 

A savoir : le meilleur placement financier à court terme dépend du montant des liquidités à déposer, de la durée de l’investissement et de votre situation fiscale.

Lorsque vous décidez de placer votre argent, vous devez être conscient que l’absence totale de risque n’est jamais vraiment garantie. Néanmoins un placement dit “sans risque” permet de limiter une perte en capital. Voici les principaux placements où les risques sont les moins élevés : 

• le livret A,

• le livret jeune,

• le PEL (Plan d’Epargne Logement),

• le LEP (Livret d’Epargne Populaire),

• le CEP (Compte Épargne Logement),

• le LDDS (Livret de Développement Durable et Solidaire),

• l’assurance-vie.

Oui, il est tout à fait possible d’avoir plusieurs assurances-vie. A l’inverse d’autres comptes épargne, la loi n’indique pas de limite à ce sujet. Vous pouvez donc posséder plusieurs assurances-vie mais cela ne vous donnera pas plus d’avantages fiscaux. En effet, l’enveloppe fiscale concerne l’ensemble des contrats que vous détenez.

Oui et non. Selon l’âge du souscripteur de l’assurance-vie au moment du décès, les droits de succession ne sont pas les mêmes. 

En effet, pour tous les versements effectués avant 70 ans, en cas de décès du souscripteur, l’assurance-vie n’entre pas dans la succession. Le bénéficiaire du contrat reçoit alors les fonds de l’assureur sans avoir à payer de droits de succession (dans la limite de 152 500 euros par bénéficiaire). Entre 152 500 euros et 700 000 euros, un forfait de 20 % s’applique et est directement ponctionné par l’assureur qui verse la somme au fisc. Au-delà de 700 000 euros, le forfait passe à 31,25 %.

Après 70 ans, la règle change. Vous ne payez pas d’impôts jusqu’à 30 500 euros, tout bénéficiaire confondu. Par contre, au-delà des 30 500 euros, les sommes perçues par le ou les bénéficiaires entrent dans la succession classique. L’assureur verse alors l’intégralité de la somme au bénéficiaire qui doit ensuite la faire reporter au notaire chargé de la succession.

Pour récupérer l’argent d’une assurance-vie, vous devez effectuer la demande soit en ligne, soit par lettre recommandée avec accusé de réception auprès de votre banque ou du gestionnaire de votre contrat. Vous pouvez joindre à votre demande : votre contrat, votre dernier relevé de situation et votre RIB. Les fonds vous sont ensuite versés dans un délai de deux mois maximum.

Oui, vous pouvez résilier votre assurance-vie à n’importe quel moment ! Cela s’appelle le rachat total et met un terme définitif à votre contrat. Pour arrêter votre assurance-vie, il vous suffit d’envoyer une demande de résiliation par courrier recommandé avec accusé de réception à votre banquier ou à votre assureur. N’oubliez pas d’y joindre votre RIB pour le versement des fonds, votre contrat et votre dernier relevé de situation.

Oui ! L’assurance-vie est l’un des placements les plus avantageux. Ce placement à long terme permet de vous constituer une épargne pour préparer votre retraite ou pour financer l’étude de vos enfants.

Depuis le 1^er octobre 2019, le Plan d’Épargne Retraite (PER) remplace le Plan d’Épargne Retraite Populaire (PERP), le contrat Madelin et le PERCO. Il existe en trois versions :

• le Plan d'Épargne Retraite Individuel (PERI),

• le Plan d'Épargne Retraite d’entreprise collectif,

• le Plan d'Épargne Retraite d’entreprise obligatoire.

Pour savoir quel Plan d’Épargne Retraite choisir, nos conseillers sont à votre disposition et à votre écoute. Ils vous aident à trouver le fond qui vous assurera une sécurité, une qualité et une performance optimales.

L’argent placé sur un Plan d'Épargne Retraite (PER) ne peut pas être débloqué avant la retraite sauf pour des situations exceptionnelles comme : 

• le surendettement,

• le décès du conjoint ou de la conjointe (mariage ou Pacs),

• l’invalidité (du souscripteur ou d’un membre de la famille proche),

• l’achat d’une résidence principale,

• l’expiration du droit à l’allocation chômage,

• la liquidation judiciaire.

En fonction de vos versements, la fiscalité de votre Plan d'Épargne Retraite (PER) varie. L’argent que vous déposez sur votre PER vous donne droit à une déduction fiscale sur votre revenu imposable l’année de votre investissement. Ainsi, au fil du temps, votre imposition diminue, en fonction de vos versements, de votre tranche marginale d’imposition et de votre situation.

Oui, il est tout à fait possible de posséder plusieurs Plans d'Épargne Retraite. Par exemple, si votre entreprise vous fournit un PER obligatoire, vous êtes tout à fait libre de souscrire de votre côté un PER Individuel.

Le Plan d’Épargne Retraite (PER) rapporte une réduction indirecte sur vos impôts sur le revenu via une déduction fiscale. 

Par exemple, si vous placez 10 000 euros par an sur votre PER et que vous vous situez dans une tranche d’imposition à hauteur de 30 %, votre économie d’impôts pourrait atteindre 3 000 euros par an.

La différence majeure entre le PER (Plan d’Épargne Retraite) et l’assurance-vie est la durée pendant laquelle votre argent est bloqué. Contrairement au PER, vous pouvez retirer l’argent de votre assurance-vie quand vous le souhaitez. A l’inverse, l’argent que vous placez sur votre Plan d’Épargne Retraite n’est récupérable avant votre retraite que dans certains cas exceptionnels : 

• décès du conjoint ou de la conjointe (mariage ou Pacs),

• invalidité,

• surendettement,

• achat d’une résidence principale,

• cessation d’activité non salariée (à la suite d’un jugement de liquidation judiciaire),

• expiration des droits aux allocations de chômage (suite à un licenciement, etc.).

Toutes les personnes dont le domicile fiscal est situé en France peuvent investir dans un Fonds d’Investissement de Proximité (FIP). Pour rappel, ce dispositif de défiscalisation permet de soutenir les Petites et Moyennes Entreprises (PME) et de réduire vos impôts.

Un PEA (ou Plan d’Épargne en Actions) est un produit d’épargne réglementé. Il est plafonné à 150 000 euros. 

Les Fonds d’Investissement de Proximité (FIP) sont créés et gérés par une société de gestion. Ils se composent d’un portefeuille de Petites et Moyennes Entreprises (PME). Pour rejoindre le FIP, ces entreprises doivent répondre à certaines conditions (chiffre d’affaires de 50 millions d’euros maximum, 250 salariés maximum, etc.).

Normalement, vous ne pouvez débloquer votre capital qu’une fois à la retraite. Toutefois, vous pouvez récupérer votre capital loi Madelin de façon anticipée en cas :

• de décès du conjoint ou de la conjointe (mariage ou Pacs),

• de surendettement,

• de cessation d’activité à la suite d’un jugement de liquidation judiciaire,

• d’invalidité.

La loi Madelin s’adresse uniquement aux travailleurs non salariés qui veulent préparer leur retraite. Leur activité professionnelle peut être de trois sortes : artisanale, commerciale ou libérale.

Le coût d’une assurance loi Madelin pour préparer votre retraite est calculé selon plusieurs éléments, à savoir : 

• votre âge,

• votre lieu de résidence,

• votre niveau de garanties souscrites.

Vous pouvez tout à fait souscrire plusieurs contrats Madelin mais vous ne pourrez bénéficier que d’une seule exonération sur la totalité des primes versées. En matière d’épargne retraite, vous ne pouvez plus souscrire à un contrat Madelin depuis le 1^er octobre 2020 car il a été remplacé par le PER Individuel.

Vous pouvez récupérer votre argent placé en loi Madelin avant l’âge de la retraite en cas :

• de cessation d’activité suite à un jugement de liquidation judiciaire,

• d’invalidité,

• de surendettement,

• de décès du conjoint ou de la conjointe (mariage ou Pacs).

Il existe différentes solutions pour payer moins d’impôts en tant que célibataire. Parmi elles, citons :

• L’investissement locatif avec notamment les dispositifs Pinel, Denormandie, Malraux, etc.,

• La déduction de vos cotisations à un Plan d'Épargne Retraite (PER) et/ou de vos frais professionnels réels,

• Les crédits d’impôt issus de l’emploi d’un salarié à domicile,

• Les réductions d’impôt liées à l’investissement dans des Petites et Moyennes Entreprises (PME).

Pour connaître les dispositifs les plus adaptés à votre situation, il est conseillé de faire le point avec un conseiller en gestion de patrimoine.

Un crédit d’impôt est une somme soustraite du montant de votre impôt.

Exemple : la garde d’enfants de moins de 6 ans à l’extérieur du domicile ouvre droit à un crédit d'impôt. 

Le crédit d’impôt, contrairement à la réduction d’impôt, fait l’objet d’un remboursement dans les cas suivants :

• son montant dépasse celui de votre impôt,

• vous n’êtes pas imposable.

Exemple : Votre impôt sur le revenu s’élève à 5 000 €. Si vous bénéficiez d’un crédit d’impôt de 6 000 €, votre impôt tombe à zéro et l’administration fiscale vous rembourse 1 000 €.

Souple, rentable et fiscalement avantageuse, l’assurance-vie n’est pas populaire pour rien. Ce véhicule d’épargne est considéré à juste titre comme le couteau suisse du patrimoine. Il permet de :

• dynamiser la rentabilité de vos placements,

• vous constituer progressivement un capital,

• optimiser la transmission de votre patrimoine à vos proches,

• compléter efficacement vos revenus via des retraits une fois à la retraite.

Il existe de nombreux types de contrats d’assurance-vie, plus ou moins rémunérateurs, plus ou moins risqués.

Vous devez déclarer vos impôts à l’administration fiscale chaque année. Si vous avez opté pour la déclaration papier, vous avez jusqu’au 22 mai pour la compléter. La date limite pour déclarer vos revenus en ligne dépend quant à elle de votre département de résidence au 1er janvier de l’année en cours. En 2023, les départements 01 à 19 ont jusqu’au 25 mai pour déclarer en ligne, les départements 20 à 54 jusqu’au 1er juin, et les départements 55 à 976 jusqu’au 8 juin.

Pour déclarer vos impôts, vous devez remplir le Cerfa n°2042. Ce document est déjà pré rempli par l’administration fiscale avec les informations dont elle dispose. Charge à vous de le compléter ou de le rectifier si votre situation personnelle a évolué. 

Si vous disposez d’une connexion internet, votre déclaration se fera obligatoirement en ligne. Il vous suffit dans ce cas de vous rendre sur le site Impots.gouv.fr et de vous connecter à votre espace particulier à l’aide de votre numéro fiscal.

Pour déclarer certains compléments de revenus, vous devrez peut-être soumettre des formulaires supplémentaires. Vous pouvez par exemple déclarer vos revenus fonciers via le formulaire n°2044.

Chaque année, vous êtes tenu de déclarer vos revenus fonciers à l’administration fiscale en indiquant le montant des loyers perçus, après déduction des charges. Pour cela, il vous suffit de compléter le formulaire n°2044. Si vous remplissez votre déclaration d’impôts Pinel pour la deuxième année, vous n’avez plus besoin de renseigner le prix de revient de votre investissement. Contentez-vous de recopier la réduction d’impôts calculée la première année dans la partie “Reports concernant les investissements des années antérieures” du formulaire n°2042 C.

Si vous avez opté pour recevoir votre avis d’impôt sur le revenu en ligne, l’administration fiscale vous enverra un courriel entre fin juillet et début août pour vous prévenir que votre avis est disponible dans votre espace Particulier. Les avis d’impôt au format papier seront quant à eux envoyés durant le mois d’août. Les délais peuvent s’allonger si vous avez transmis votre déclaration d’impôts en retard.

Déclarer vos impôts est un exercice parfois complexe et fastidieux, raison pour laquelle de nombreux contribuables décident de se faire accompagner par un professionnel. Si les banquiers, les assureurs et les conseillers en gestion de patrimoine peuvent vous aider sur certains aspects de votre déclaration, seuls les experts-comptables ou les avocats fiscalistes sont habilités à la remplir à votre place. 

Il existe de nombreuses solutions pour payer moins d’impôts. Afin d’établir une stratégie de défiscalisation adaptée à votre situation personnelle, prenez rendez-vous avec l’un de nos conseillers en gestion de patrimoine Quintésens. Nos experts réalisent votre bilan patrimonial afin de concevoir une stratégie fiscale sur-mesure. Ainsi, en fonction de cet audit, ils pourront vous proposer différentes approches pour réduire vos impôts (crédit ou réduction d’impôt, développement de nouvelles sources de revenus qui échappent à l'imposition, etc.).

La gestion de patrimoine consiste à développer, à faire fructifier et à transmettre le patrimoine d’un particulier en fonction de ses objectifs. Il y a deux types de patrimoine : les biens actifs (propriétés immobilières, foncières, placements financiers, biens physiques, etc.) et les biens passifs (dettes contractées, emprunts en cours, etc.).

Vous seul pouvez décider du prix auquel vous souhaitez vendre votre bien immobilier. Chaque logement est unique, et son prix peut varier selon plusieurs critères, tels que la superficie, le nombre de pièces, l’exposition, la proximité des commerces ou encore la notoriété du quartier.

Pour vous aiguiller dans votre choix, il existe des simulateurs en ligne qui vous permettent d’obtenir une première estimation de la valeur de votre bien. Vous pouvez aussi faire appel aux services d’un notaire ou d’un spécialiste de l’immobilier qui saura déterminer le prix de vente idéal avec précision.

Selon un sondage réalisé par OpinionWay pour le groupe Artémis, près de 92% des Français estiment qu’il est “important” d’être propriétaire de son logement. La principale raison ? Lorsque vous devenez propriétaire, vous n’avez plus de loyers à verser. À la place, vous investissez votre argent dans un patrimoine solide et durable. 

Pinel, Denormandie, … Au-delà de l’acquisition de votre résidence principale, de nombreux dispositifs vous permettent d’investir dans l’immobilier pour percevoir des revenus complémentaires, et optimiser votre fiscalité. 

L’obtention d’un crédit immobilier auprès de votre banque est soumise à plusieurs critères, parmi lesquels le montant de vos revenus, votre situation familiale, et votre apport personnel. Le plus souvent, les organismes prêteurs exigent un apport correspondant à environ 10% de la valeur du prêt. 

Toutefois, dans l’environnement de taux bas actuel, il est tout à fait possible, pour certains profils, de devenir propriétaire sans apport. Mais attention : en acceptant de vous prêter sans apport, la banque prend un risque plus important, qui sera répercuté sur le taux d’intérêt de votre prêt. 

Pour convaincre votre banquier dans le cas d’un investissement locatif, prouvez-lui (chiffres à l’appui) que votre opération est rentable. Vous pouvez aussi, sous certaines conditions, recourir à des prêts aidés, tels que le prêt à taux zéro (PTZ), le  prêt à l’accession sociale (PAS), ou encore le prêt Action Logement.

La valeur des meubles peut atteindre jusqu’à 5% du prix de vente hors frais d’agence d’un bien immobilier sans qu’aucun justificatif ne soit réclamé par l’administration fiscale. Au-delà, le vendeur est tenu de fournir les factures correspondantes pour justifier la valeur du mobilier.

Commencez par définir votre projet en détail : quelle surface souhaitez-vous ? Dans quelle zone géographique ? Souhaitez-vous une maison ou un appartement ? Quel est votre budget ? 

Une fois votre projet clairement établi, vous pouvez débuter vos recherches. Prenez le temps de visiter plusieurs biens pour vous familiariser avec les prix du marché. Lorsque vous avez trouvé un logement qui vous plaît, vous pouvez faire une offre d’achat. Si le vendeur accepte votre offre, vous signerez ensuite le compromis de vente.
Arrive alors l’étape du financement. Contactez un (ou plusieurs) établissements bancaires pour obtenir un prêt immobilier. Dès que les fonds sont disponibles, il ne vous restera plus qu’à signer l’acte authentique pour finaliser votre achat immobilier.

Le courtier en immobilier est un professionnel du financement qui joue le rôle d’intermédiaire entre les organismes de crédit et les particuliers à la recherche d’un prêt pour financer l’acquisition d’un bien immobilier. Son rôle consiste à comparer les offres de prêt sur le marché, et à négocier des conditions préférentielles en votre nom. 
Pour cela, le courtier en immobilier travaille avec un vaste réseau de partenaires bancaires et financiers. Il n’est rémunéré que si vous souscrivez un prêt en passant par lui, et ses honoraires sont généralement couverts par les économies qu’il vous a permis de réaliser sur votre prêt immobilier.

Pour obtenir votre crédit immobilier au meilleur taux, commencez par soigner votre profil emprunteur. Les banques ajustent le taux des crédits en fonction du risque qu’elles prennent en vous prêtant de l’argent. Si vous réduisez les risques pour la banque, celle-ci sera plus à même de vous proposer un taux attractif. 

Pour cela, épargnez régulièrement afin de vous constituer un apport personnel, limitez votre taux d’endettement en évitant de souscrire d’autres prêts, et veillez à ne pas finir le mois à découvert. Les banques valorisent en outre les profils avec de bons revenus, et des rentrées d’argent stables. Ainsi vous obtiendrez souvent un meilleur taux si vous êtes en CDI que si vous enchaînez les CDD.

Pensez par ailleurs à faire jouer la concurrence entre les banques, soit par vous-même, soit en étant accompagné par un courtier en immobilier, qui saura négocier en votre nom auprès des organismes de crédit pour vous obtenir un prêt au meilleur taux.

Les courtiers en immobilier se rémunèrent de deux manières : via des frais de courtage, ou via un “mandat”. Les frais de courtage sont facturés directement à l’emprunteur, lorsqu’il accepte l’offre du courtier et que les fonds sont débloqués. En revanche, le “mandat”, qui correspond selon les cas à un montant fixe ou à un pourcentage du prêt, est intégré dans le montant total de votre crédit immobilier. L’organisme prêteur procède au règlement du mandat lorsque les fonds sont débloqués. Toutefois, c’est bien l’emprunteur qui supporte ces frais, quoique de façon indirecte.

Vous avez souscrit un crédit immobilier, puis votre situation personnelle a évolué suite à un imprévu ? Heureusement, des solutions existent pour adapter les mensualités de votre emprunt à votre nouveau budget. 
Sur certains contrats, vous pouvez par exemple moduler les échéances de votre prêt. Allongez la durée de votre prêt pour réduire le montant de vos mensualités. Autres options : effectuer un rachat de crédit, en vous tournant vers une banque concurrente, ou opter pour un regroupement de crédit, pour ne plus avoir qu’une seule mensualité à payer.

Pour diminuer les mensualités de votre prêt immobilier, vous disposez de 6 solutions :

• Si vous êtes en difficultés financières suite à un imprévu, vous pouvez demander à la banque de suspendre le remboursement de vos mensualités pendant 1 à 12 mois.
  

• En cas d’évolution des taux sur le marché, vous pouvez renégocier le taux d’intérêt (TAEG) de votre prêt immobilier avec votre banque.
  

• Vous pouvez résilier votre assurance-emprunteur, et comparer les polices existantes pour en souscrire une nouvelle, moins onéreuse.
  

• Certains contrats de prêt comportent une clause qui vous permet de moduler les échéances de votre prêt sur simple demande. La durée de votre crédit et son coût total vont augmenter, mais vos mensualités seront plus faibles.
  

• Vous pouvez demander à une banque concurrente de racheter votre prêt, puis souscrire un nouveau crédit auprès de cet établissement, à un taux plus intéressant, ou sur une plus longue durée. Vous risquez en revanche de devoir payer des indemnités de remboursement anticipé (IRA).
  

• Pour finir, vous pouvez demander à votre banque d’effectuer un regroupement de crédit. La banque peut alors fusionner vos crédits en un seul et vous proposer une mensualité unique.

Lorsque vous confiez la gestion d’un bien immobilier à un tiers, vous signez un mandat de gestion qui liste les tâches que déléguez au mandataire. Généralement ce contrat vous engage sur une période d’un an, avec reconduction tacite. Pour rompre ce contrat, vous avez 3 possibilités. 

• La résiliation à échéance prévue : depuis la loi Chatel, le mandataire a l’obligation de vous informer que vous pouvez mettre fin au contrat avant que celui ne se renouvelle automatiquement. Vous pouvez alors résilier le contrat en adressant votre demande au mandataire par lettre recommandée. Attention à bien respecter la période de préavis.
  

• La rupture de contrat avant échéance : vous pouvez mettre fin au contrat de gestion locative avant la fin de votre engagement, mais seulement en cas de manquement ou de faute grave du mandataire. L’absence de locataire ne constitue pas un motif valable pour dénoncer votre contrat.
  

• La vente du bien immobilier : si vous décidez de vendre votre logement, le contrat de gestion locative sera automatiquement résilié. Attention cependant : certains prestataires facturent des frais de résiliation. Pensez à vous renseigner sur ce point au moment de souscrire votre contrat.

De nombreuses agences proposent des services de gestion locative. Mais toutes ne se valent pas. Pour faire le bon choix, optez de préférence pour une agence spécialisée dans la gestion locative, plutôt que pour une agence généraliste. Prenez ensuite le temps de comparer les honoraires des agences au regard des prestations fournies. En général, ces tarifs sont compris entre 5 et 10% du loyer perçu. Renseignez-vous également sur la durée d’engagement du contrat et sur les éventuels frais de résiliation. Pour finir, vous pouvez également consulter les avis clients, pour vérifier si l’agence a une bonne réputation.

Les tarifs d’une agence de gestion locative peuvent varier du simple au double selon le niveau de qualité des prestations proposées. En moyenne, les frais de gestion locative se situent entre 5 et 10% du montant du loyer. Pour un loyer de 600 euros, cela représente 30 à 60 euros de frais par mois.

Certains frais d’agence peuvent être partagés entre le propriétaire et le locataire d’un logement. Mais ce n’est pas le cas des frais de gestion locative. Depuis l’entrée en vigueur de la loi ALUR, ces frais sont obligatoirement pris en charge par le propriétaire du bien. La bonne nouvelle, c’est que vous avez souvent la possibilité de déduire ces frais de gestion de votre revenu foncier pour optimiser votre fiscalité.

Pour augmenter votre patrimoine, il y a trois règles d’or : 

1. Epargner

Cela peut sembler évident mais la première règle est un dicton de grand-mère : « Le premier argent qu’on gagne, c’est celui qu’on ne dépense pas. » Effectivement, il est nécessaire de dégager de l’épargne pour ensuite placer et investir votre argent, et le faire fructifier.

2. Diversifier vos placements et vos investissements

Il est recommandé de combiner différents placements pour limiter le risque : actions, obligations, contrat d’assurance-vie, achat de votre résidence principale, investissement locatif, etc.

3. Optimiser votre fiscalité

L’optimisation fiscale permet de réduire votre montant d’impôts grâce à des déductions fiscales, des réductions d’impôt et des crédits d’impôt. La fiscalité est un levier efficace pour valoriser votre patrimoine.

Pour identifier des solutions de placement, d’investissement ou de défiscalisation adaptées à votre situation, contactez un conseiller Quintésens.

Le patrimoine mobilier est constitué de biens matériels pouvant être déplacés (meubles, bijoux, véhicules de collection, objets précieux, tableaux, etc.) et de biens immatériels (actions, obligations, assurance-vie, Plan d'Épargne Retraite, etc.).

Il ne doit pas être confondu avec le patrimoine immobilier, qui concerne les immeubles, c’est-à-dire tous les biens qu’on ne peut pas déplacer.

Au sens large, le patrimoine d’un individu est composé de son patrimoine mobilier et de son patrimoine immobilier.

En cas de crise financière, il est important de sécuriser votre patrimoine en diversifiant vos placements. Pour cela, plusieurs solutions existent :

• Les placements garantis par l’État (livret A, Plan d'Épargne Logement, assurance-vie en fonds euros),

• Les valeurs refuges que sont l’or et l’argent, stables et résiliantes en cas de krach boursier,

• Les obligations d’État,

• Certaines oeuvres d’art,

• L’achat d’une résidence principale ou secondaire, qui, quoique moins liquide, constitue également une valeur refuge,

• L’investissement locatif dans des zones à forte tension locative.

Evidemment, dans un contexte économique particulièrement tendu, investir en bourse suppose un certain goût du risque et une bonne expérience des marchés. 

Il est recommandé de faire appel à un conseiller en gestion de patrimoine pour faire les choix les plus judicieux en fonction de votre situation propre.

Pour créer un patrimoine immobilier, il faut devenir propriétaire d’un ou de plusieurs biens immobiliers. Pour cela, emprunter est le plus souvent nécessaire. En fonction de votre épargne et de votre capacité d’emprunt, une personne donnée déterminera le type de bien qu’il lui est possible d’acquérir. 

Il existe des moyens de commencer avec des mises modestes, tout en obtenant de bons taux de rentabilité, de l’ordre de 5 %. Il s’agit par exemple de l’acquisition d’un studio en province (+/- 50 000 €), d’une place de parking dans une grande ville (+/- 15 000 €), d’une chambre de bonne à Paris ( +/- 80 000 €) ou d’une jolie maisonnette à rénover à la campagne (+/- 150 000 €).

Si vous ne pouvez pas prétendre à l’achat d’un bien immobilier, l’investissement dans une SCPI de rendement, moyennant un ticket d’entrée de 1 000 € ou 2 000 €, est une alternative à considérer.

Le capital nécessaire pour être rentier varie selon trois paramètres : le montant de la rente, la durée des versements et le taux de rendement du capital, variable selon les placements effectués (livret A, portefeuille d’actions et d’obligations, investissement locatif, etc.).

Ci-dessous, un tableau présentant le patrimoine à réunir pour être rentier pendant une durée donnée. Le taux de rendement du capital a été fixé à 3 ou 5 % et le montant de la rente mensuelle à 500 € ou 2 000 €.

Un capital de… dure…

Concrètement, pour toucher une rente de 2 000 € par mois pendant 15 ans, il faut placer 300 000 € à 3 %.

La taxe d’habitation et la taxe foncière sont deux impôts locaux. Ils sont utilisés par les collectivités locales afin de financer leurs équipements et leurs services. La taxe foncière est payée par le propriétaire du bien immobilier. A l’inverse, la taxe d’habitation est réglée par celui qui occupe le bien. Cela peut donc être un locataire, le propriétaire du bien ou une personne qui habite le logement à titre gratuit.

Vous pouvez bénéficier d’une exonération de taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) sous certaines conditions liées à l’âge et aux revenus de la personne propriétaire ou à la propriété en elle-même. En fonction des propriétés, vous pouvez obtenir une exonération partielle ou totale de la taxe foncière. Par exemple, pour les constructions neuves, l’exonération est totale pendant deux années. Pour connaître tous les différents cas de figure, n’hésitez pas à prendre rendez-vous avec un conseiller en gestion de patrimoine. Il saura répondre à vos questions et vous aider à prendre les meilleures décisions en matière de déclaration de vos revenus fonciers.

La taxe foncière doit être payée par le propriétaire du bien immobilier au titre des impôts locaux dus aux collectivités. C’est le propriétaire du bien au 1^er janvier de l’année en cours qui doit se charger du paiement de cet impôt. La taxe foncière est calculée en fonction de la valeur cadastrale de votre logement mais aussi en tenant compte du taux défini par votre commune.

Afin de ne pas payer la taxe d’habitation en 2022, votre revenu fiscal de référence (RFR) ne doit pas dépasser 28 150 euros. A partir de 2023, tous les foyers français ne paieront plus de taxe d’habitation sur leur résidence principale.

Le dégrèvement (ou baisse progressive) de la taxe d’habitation pour votre résidence principale a été progressif. En 2023, plus aucun foyer français ne paiera de taxe d'habitation sur sa résidence principale. La taxe d'habitation concerne désormais uniquement les propriétaires de résidences secondaires.

On recense plus de 3 500 cabinets de gestion de patrimoine en France. Mais tous ne proposent pas les mêmes prestations. Pour trouver un conseiller en gestion de patrimoine (CGP) à la hauteur de vos ambitions patrimoniales, assurez-vous de choisir un cabinet indépendant des réseaux bancaires et des assureurs. Les conseillers patrimoniaux de ces établissements perçoivent souvent des commissions, ce qui peut les empêcher de vous apporter un conseil véritablement objectif. Vérifiez par ailleurs que votre conseiller détient les accréditations nécessaires pour exercer son métier. Pour aller plus loin, vous pouvez aussi consulter les avis clients pour vérifier si le cabinet a une bonne réputation.

Les honoraires d’un conseiller en gestion de patrimoine varient selon les cabinets et la nature des prestations demandées. Certains cabinets facturent par exemple 1 500 euros pour un bilan patrimonial approfondi et un accompagnement à l’année. D’autres proposent de réaliser un audit gratuit de votre situation patrimoniale, et se rémunèrent via un système de rétro-commissions sur les placements qu’ils vous recommandent. Avant de choisir un conseiller en gestion de patrimoine, renseignez-vous sur son mode de rémunération, et assurez-vous qu’il sera en mesure de vous apporter un conseil objectif et de haute qualité.

Le conseiller en gestion de patrimoine (CGP) a pour principale mission d’aider ses clients à atteindre leurs objectifs patrimoniaux, qu’il s’agisse de se constituer un capital pour un projet futur, de financer un projet immobilier, ou de préparer sa retraite. 

Pour cela, il commence le plus souvent par réaliser un bilan patrimonial. A partir de cette analyse, il peut émettre des recommandations sur les produits d’épargne ou les dispositifs d’investissement locatif les plus en adéquation avec vos ambitions patrimoniales.

Une fois que votre stratégie patrimoniale est prête, le conseiller en gestion de patrimoine peut également vous aider à l’implémenter, et vous apporter son expertise fiscale, juridique et financière au quotidien.

La palmarès Champions de la croissance récompense chaque année les 500 entreprises françaises qui ont connu la plus forte croissance. Réalisé par Les Echos en partenariat avec l’institut Statista, ce classement prestigieux met à l’honneur les entreprises les plus inspirantes, dynamiques, et performantes, tous secteurs confondus. En 2023, Quintésens remporte ce titre pour la 7^ème année consécutive.

Les conseillers en gestion de patrimoine (CGP) vous accompagnent dans la gestion et l’optimisation de votre patrimoine. Indépendants des circuits bancaires et des compagnies d’assurance, les CGP vous aident à bâtir une stratégie patrimoniale et fiscale adaptée à votre situation personnelle. Grâce à ses connaissances juridiques, fiscales et financières, votre conseiller sélectionne les meilleurs placements pour faire fructifier votre capital.

Depuis plus de 13 ans, les conseillers Quintésens vous accompagnent dans vos projets patrimoniaux. Nous pensons que chaque porteur de projet est unique, et que pour que votre projet soit une réussite, vous avez besoin d’être informé de façon claire, objective, et transparente. Pour cela, nous plaçons l’humain au cœur de nos démarches. Et ça fonctionne. Chaque année, nos clients économisent en moyenne 4 000 euros d’impôts. Mais surtout, ils ont le sentiment d’être accompagnés, guidés, et écoutés tout au long de leur projet. Résultat ? Quintésens remporte la note de 4,2/5 pour plus de 950 avis vérifiés sur Trustpilot.

Quintésens propose un programme de parrainage réservé à ses clients qui souhaitent parrainer leurs proches, leurs amis ou leurs collègues de travail. Pour parrainer un proche, vous devez compléter notre formulaire en ligne. Votre filleul est ensuite contacté par un conseiller Quintésens afin de réaliser un bilan patrimonial. Si la personne parrainée devient cliente chez Quintésens, son parrain se voit offrir un cadeau. Découvrez les conditions d’éligibilité à notre programme de parrainage.

Si vous décidez de parrainer un proche et de lui faire découvrir nos services, vous recevez un cadeau d’exception. Il faut pour cela que la personne recommandée achète un bien immobilier (en Pinel, en Malraux, en LMNP, etc.). Une fois l’acte notarié signé, vous recevez votre cadeau. De plus, un chèque cadeau d’une valeur de 50 euros vous est offert si votre filleul ouvre un produit financier supplémentaire. Découvrez les conditions d’éligibilité à notre programme de parrainage.

Si vous recherchez une profession qui a du sens alors le métier de conseiller en gestion de patrimoine (CGP) est fait pour vous. En effet, vous aidez des familles ou des personnes à concrétiser leurs projets immobiliers, patrimoniaux et fiscaux. Vous les accompagnez sur le long terme et créez une relation de confiance avec eux. De plus, vous bénéficiez d’une grande flexibilité en termes d’horaires, avec une rémunération motivante.

Pour devenir gestionnaire de patrimoine, vous devez posséder plusieurs qualités : la détermination, le sens du contact, l’écoute, la rigueur et l’organisation.

Que vous soyez débutant, confirmé ou en reconversion, chez Quintésens nous recrutons tous les profils. Nous aidons nos nouveaux collaborateurs en offrant :

• un parcours de formation certifiant,

• un accompagnement commercial et technique,

• une rémunération motivante,

• un « Welcome Pack » comprenant des outils de communication et de marketing.

Il est aussi possible de suivre des études en gestion de patrimoine au sein d’écoles prestigieuses et d’universités pour obtenir une licence, un Master ou un BTS en gestion de patrimoine.

Le CGP, pour Conseiller en Gestion de Patrimoine, accompagne les particuliers dans la gestion de leur patrimoine. En fonction de vos projets de vie, il établit une stratégie d’épargne et d’investissement sur le long terme afin : 

• de préparer votre retraite, 

• de réduire vos impôts, 

• de placer votre épargne,

• de développer et de transmettre votre patrimoine.

Il assure un suivi du début à la fin de votre projet et est toujours à votre écoute. La preuve, nos clients sont satisfaits !

Pour rappel, un travailleur indépendant est une personne qui exerce une activité professionnelle et économique pour son propre compte, c’est-à-dire qui n’est pas salarié dans une entreprise. Pour être indépendant, il doit choisir un statut juridique pour créer une : 

• entreprise individuelle,

• micro-entreprise,

• société unipersonnelle.

Il peut exercer une activité artisanale, commerciale, industrielle ou libérale.

Un conseiller en gestion de patrimoine (CGP) est rémunéré en fonction de son expérience et de son statut (indépendant, salarié, etc.). Sa rémunération est divisée en deux : une part fixe mensuelle et une part variable donnée en fonction des objectifs atteints.

Afin de bien préparer votre entretien pour travailler chez Quintésens, membre du Groupe Pluralle, vous devez en premier lieu vous renseigner sur notre entreprise et sur notre groupe. N’hésitez pas à aller sur nos comptes LinkedIn et notamment sur celui de Pauline David, notre Chargée de recrutement Pluralle. Débutant ou confirmé, nous acceptons tous les profils. N’hésitez pas à poser vos questions sur nos équipes, nos formations; nous sommes à l’écoute !

« Il faut anticiper pour vivre une retraite sereine. » En d’autres termes, plus on commence jeune, mieux c’est. Avec le Plan d'Épargne Retraite (PER), il est possible d’épargner pour sa retraite dès le commencement de sa vie active en défiscalisant ses cotisations.

Assurance-vie, investissement locatif, Société Civile de Placement Immobilier (SCPI), Plan d'Épargne en Actions (PEA), etc. Beaucoup d’autres placements permettent de préparer sa retraite, quel que soit son âge. À chaque profil épargnant correspond une combinaison particulière de placements et d’investissements.

Si vous relevez du régime général, pour calculer le montant de votre retraite de base à taux plein, il suffit de déterminer votre « salaire annuel moyen » à partir de vos 25 meilleures années de revenu, puis de le diviser par deux.

Exemple : Le salaire annuel moyen de Monsieur Martin est de 4 000 €, le montant de sa retraite de base à taux plein s’élève à 2 000 €.

Pour percevoir une retraite à taux plein, il faut soit atteindre l’âge légal de départ en retraite (62 ans) en ayant cotisé le nombre requis de trimestres, soit attendre 67 ans, l’âge de la retraite à taux plein, si votre nombre de trimestres est insuffisant.

Pour connaître votre âge de départ ou le montant anticipé de votre retraite, il est possible de vous  connecter à votre espace personnel sur le site officiel Info Retraite.

Pour bien préparer votre retraite, une multitude de solutions existent. Dans tous les cas, il s’agit de placer et d’investir de l’argent en vue de vous assurer un complément de revenus une fois à la retraite, en rente ou en capital.

Parmi les placements plébiscités, citons le Plan d'Épargne Retraite (PER) et l’assurance-vie, qui permettent de vous constituer des revenus complémentaires.

Avec un risque maîtrisé, l’investissement locatif représente aussi une bonne opportunité : dispositifs Pinel, Denormandie, Loueur Meublé Non Professionnel (LMNP), etc.

Le Plan d'Épargne Retraite, ou PER, est un produit d’épargne ouvert à tous et disponible depuis le 1^er janvier 2019.

L’épargne versée reste bloquée jusqu’à la retraite, sauf en cas d’achat de votre résidence principale ou d’accident de la vie.

Les cotisations versées sur votre PER sont déductibles de votre revenu global, dans la limite de 10 % de vos revenus d’activité.

Une fois à la retraite, les titulaires d’un PER peuvent choisir de :

• récupérer l’épargne accumulée (capital),

• la transformer en rente viagère (revenu mensuel supplémentaire à vie),

• panacher les deux options.

Il est possible de transmettre de votre vivant votre patrimoine à vos neveux et nièces par voie de donation, ou à votre mort au moyen d’un testament ou d’une clause bénéficiaire dans un contrat d’assurance-vie.

À savoir : Fiscalement, sont considérés comme neveux et nièces les enfants d’un frère ou d’une sœur.

Attention, la part versée à vos neveux et nièces, composée des legs et des donations faites de votre vivant, ne doit pas dépasser la quotité disponible, afin de préserver la réserve héréditaire destinée aux héritiers réservataires, tels que les enfants du défunt. Cette quotité disponible varie de la moitié du patrimoine successoral si le défunt n’a qu’un enfant au quart de celui-ci s’il en a trois et plus.

Au plan fiscal, les donations consenties à des neveux et nièces sont soumises à une taxe de 55 %. Un abattement de 7 967 € est prévu tous les 15 ans. De même, les droits de succession s’élèvent à 55 % du patrimoine hérité par un oncle ou une tante.

À noter : si le donateur a moins de 80 ans, n’a pas d’enfants et que ses donations portent sur des sommes d’argent versées à ses neveux et nièces, il peut bénéficier d’un abattement de 31 865 € tous les 15 ans.

Une chose est sûre : il est fiscalement (beaucoup) plus avantageux de transmettre votre patrimoine immobilier de votre vivant.

Trois solutions co-existent, qui gagnent à être combinées :

1. Les donations : Un abattement fiscal de 100 000 €  par parent et par enfant est prévu tous les 15 ans. Il peut être majoré de 31 865 € en ayant recours aux dons familiaux de « sommes d’argent » pour un abattement total de 131 865 € tous les 15 ans. Les donations effectuées dans la limite de ce montant sont donc exonérées d’impôt.

2. Le démembrement : les parents peuvent transmettre la nue-propriété d’un bien immobilier à leurs héritiers, tout en conservant l’usufruit. La valeur de la nue-propriété augmentant avec l’âge des usufruitiers, le démembrement, si l’on s’y prend suffisamment tôt, permet de réduire significativement le montant des droits de succession.

3. La création d’une Société Civile Immobilière (SCI) familiale : elle permet de garantir la préservation du patrimoine familial en évitant le régime de l’indivision. De plus, du fait d’une décote d’environ 10 % de la valeur des parts sociales d’une SCI par rapport à la valeur des biens détenus, les donations de parts sont fiscalement intéressantes (100 € de parts valent en réalité plus ou moins 110 €).

Pour minimiser les droits de succession qu’auront à payer vos héritiers, il faut anticiper la transmission de votre patrimoine. Il est possible de le faire par voie de donation, par le démembrement de votre patrimoine immobilier, par un contrat d’assurance-vie ou par une Société Civile Immobilière (SCI) familiale. 

Les donations effectuées dans la limite de certains montants sont exonérées d’impôt.

Le démembrement consiste, le plus souvent, à séparer la nue-propriété d’un bien immobilier de son usufruit. Il permet de garantir au donateur la jouissance du bien jusqu’à sa mort tout en réduisant fortement les droits de succession qu’auront à acquitter ses héritiers. Il est également possible de faire du démembrement sur certains placements financiers ou démembrer la clause bénéficiaire d’un contrat d’assurance-vie.

Pour ce qui est de l’assurance-vie, le capital transmis est exonéré d’impôt dans la limite de 152 500 € si les versements ont été effectués avant 70 ans, et de 30 500 € sinon.

À noter : L’abattement est apprécié par bénéficiaire, pour l'ensemble des contrats souscrits par un même assuré.

Enfin, les parts d’une SCI étant en général valorisées 10 % au-dessous de la valeur des biens immobiliers dont elle est propriétaire, transmettre des parts sociales plutôt que de l’argent permet de donner plus pour moins.

Le règlement d'une succession comprend quatre étapes clés :

• Le notaire établit un acte de notoriété ayant pour objet de répertorier les différents héritiers légaux et/ou testamentaires de la succession.

• Le notaire dresse un bilan complet du patrimoine du défunt pour déterminer sa composition, à savoir les actifs et les passifs, tout en tenant compte du régime matrimonial du défunt, des donations antérieures et parfois des contrats d’assurance-vie. Ce bilan est au besoin assorti d’un inventaire des biens mobiliers effectué par un commissaire-priseur.

• Le notaire accomplit les formalités hypothécaires et fiscales liées au décès.

• Le partage des biens est défini.

Une fois l’actif successoral déterminé, les héritiers ont à choisir entre trois options : accepter la succession, accepter la succession à concurrence de l’actif net (moins les dettes et les créances) ou renoncer à la succession.

En vue de payer les droits de succession, le bénéficiaire d’une succession – qu’il soit le conjoint survivant, l’enfant ou un légataire désigné – doit obligatoirement déposer une déclaration de succession dans les 6 mois pour un décès survenu en France métropolitaine et dans les 12 mois sinon.

Une personne célibataire et sans descendance dispose d’une grande liberté en ce qui concerne sa succession et le choix de ses légataires. En effet, contrairement à une personne mariée et/ou avec enfant, elle n’a pas d’héritiers « réservataires ». La personne peut donc choisir de privilégier un légataire plutôt qu’un autre, en rédigeant un testament, sans que les membres de sa famille puissent le contester.

Si aucun testament n’a été rédigé, la succession est partagée entre les membres de la famille du défunt (parents, frères et sœurs, etc.)