Néanmoins, on constate des baisses de prix à Amiens, Bastia, Saint-Etienne, Toulon et Toulouse à hauteur de 6%.
Investir dans les grandes villes est donc synonyme de plus grand budget, surtout si la surface souhaitée est élevée.
Négocier reste bien entendu possible étant donné que tous les quartiers ne se valent pas. « Il existe de fortes disparités entre les quartiers et les marges de négociation sont en moyenne beaucoup plus faibles dans les centres-villes qu’au sein des zones périphériques ».
À Bordeaux par exemple, la marge ne dépasse pas les 2%. En s'éloignant un peu, la marge passe à 3%. Et lorsque l'on s'éloigne bien plus, au niveau du Lac-Bacalan, la marge négociable est de 6%. « Après une période de calme en début d’année, les acheteurs ont repris leur projet avec l’arrivée du printemps, l’activité est dynamique, mais les acheteurs s’informent de façon approfondie ».
À Lyon, dans les 1er, 3e, 4e et 6e arrondissements offrent des marges de négociation quasi nulles. En se dirigeant vers le 9e, elles passent à 10,7% puis à 12,4% dans le 8e.