Que se passe-t-il pour le contrat d’assurance en cas de décès de son souscripteur ?
Le décès de son souscripteur entraîne automatiquement la clôture du contrat d’assurance-vie. L’intégralité des sommes détenues sur celui-ci est alors transmise à ou aux bénéficiaire(s) désigné(s) dans la clause bénéficiaire du contrat.
Y a-t-il des droits de succession sur un contrat d’assurance-vie ?
L’assurance-vie ne fait pas partie de l’actif successoral du défunt. Cela signifie que le capital transmis aux bénéficiaires désignés dans le contrat n’est pas soumis aux droits de succession.
Quelle est la fiscalité appliqué en cas de décès du souscripteur ?
Hors succession, le capital transmis via votre assurance-vie bénéficie d’une fiscalité très avantageuse. Un atout non négligeable pour ce produit d’épargne. En assurance-vie, la fiscalité applicable aux sommes transmises varie selon : la date de souscription du contrat, la date de versement des primes, l’âge du souscripteur au moment des versements.
Est-ce le bon moment pour investir dans une assurance-vie ?
Oui, c’est le bon moment pour investir dans une assurance-vie ! Avec la baisse des taux de rendement des livrets d’épargne bancaires, il est plus que nécessaire de se tourner vers des produits bien plus performants, comme l’assurance-vie, pour optimiser son épargne et faire fructifier son capital.
Combien investir sur une assurance-vie ?
100 euros suffisent pour ouvrir une assurance-vie. Or, le montant idéal à placer sur son contrat est propre à chacun. Il va dépendre de vos projets de vie, votre niveau de revenus, du temps qui vous sépare de la retraite, ou plus généralement de votre horizon d’investissement.