Avant de parler de défiscalisation immobilière, Claire Pouget rappelle qu’en plus de l’épargne et des placements, vous pouvez réaliser des économies d’impôt grâce à vos dépenses familiales ou personnelles comme : les frais de scolarité, la garde d’enfants hors du domicile, l’emploi d’un salarié à domicile, les dons aux oeuvres caritatives et associations, etc. Pour en savoir plus, vous pouvez télécharger notre Guide pratique de la déclaration de revenus.
Enfin, même si la fin de l’année est proche, il n’est jamais trop tard pour investir dans l’immobilier en direct. Il existe en effet de nombreuses niches fiscales, que ce soit dans le neuf comme dans l’ancien.
Il existe trois grandes familles :
L’investissement immobilier en VEFA (Vente en l’État Futur d’Achèvement)
Vous pouvez investir en loi Pinel ou en Loueur Meublé Non Professionnel (LMNP) en résidence de services par exemple. Grâce à ces dispositifs, vous obtiendrez des réductions d’impôt de l’ordre de 12 % à 21 % en Pinel et de 11 % du prix du logement en LMNP Censi-Bouvard.
L’investissement immobilier dans l’ancien
Avec la loi Denormandie ou le déficit foncier. Ainsi, la réduction d’impôt appliquée pour le dispositif Denormandie est la même que pour le Pinel. Par ailleurs, le déficit foncier vous permet de réduire vos impôts fonciers en déduisant vos charges liées à la location de votre bien.
L’investissement immobilier de restauration sur secteur sauvegardé
Avec les dispositifs Malraux et Monuments Historiques. Si vous effectuez les travaux de restauration et le déblocage des fonds avant le 31 décembre, vous bénéficiez d’un avantage fiscal dès l’année prochaine sur les revenus de cette année.